Monitoring of migratory and wintering waterbirds in Germany
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Contexte, objectifs et méthodes
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Data entry in ornitho.de / NaturaList
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jeudi, 1. octobre 2015
avinews
Afflux de Pouillot à grands sourcils: tendez vos oreilles !
Le Pouillot à grands sourcils est originaire des zones boisées de la Taïga entre la mer d’Okhotsk et les monts de l’Ural. Cette espèce est devenue un migrateur annuel en Europe Centrale, même si sa zone d’hivernage se situe en Asie. Par contre, il n’est toujours pas connu ou ces oiseaux migrants à travers l’Europe passent l’hiver. Un oiseau bagué en octobre 2013 sur l’île de Helgoland a été observé en janvier 2014 sur l’île de Lanzarote. De même, il n’est toujours pas connu pourquoi cette espèce est devenue si régulière en Europe.
Cet automne, il semble qu’un afflux sans précédent soit en cours : plus de 1000 Pouillot à grands sourcils ont ainsi été observés en Finlande. La moyenne des années précédentes étant de 300…
En Allemagne, la majorité des données proviennent de la période mi-septembre jusqu’à mi-octobre, surtout des zones côtières : ainsi plus de 200 données ont été recueillies sur ornitho.de/lu cet automne. Ces données sont reprises sur la carte de répartition. La première donnée, très précoce, date de la mi-août. Après ce sont surtout des données de l’île de Helgoland (max 17 ind. par jour) et des zones côtières le long de la mer du Nord.
De l’autre côté, l’espèce a déjà été noté à l’intérieur des terres et est tout à fait possible de l’observer au Luxembourg. Début octobre est la meilleure période pour rechercher l’espèce. Le Pouillot à grands sourcils fréquente surtout des zones de bocages et haies, de même que les parcs et jardins. On le remarque souvent par son cri, donc il est impératif de se familiariser avec celui-ci : www.xeno-canto.org/species/Phylloscopus-inornatus. Attention aussi de ne pas le confondre avec un jeune roitelet ou le plus rare Pouillot de Pallas.
Toute l’équipe d‘ornitho.de et ornitho.lu vous souhaitent bonne chance afin de trouver un de ces pouillots venus de Sibérie.
Foto: Pouillot à grands sourcils, Lutz Ritzel.
posté par Christopher König
jeudi, 1. octobre 2015
avinews
Looking back on summer 2015: Grey Partridge, Starlings and many surprising observations
Mit zahlreichen Temperaturrekorden zeigte sich der Sommer 2015 insgesamt heiß, trocken und sonnig. Während vor allem Wasservögel in austrocknenden Gewässern ihre Bruten verloren, wirkte sich die Witterung positiv auf den Bruterfolg wärmeliebender Arten aus. In unserem Beitrag über den Sommer 2015 in "Der Falke" betrachten wir einige Ereignisse in der Vogelwelt in den Monaten Juni bis August.
Unter allen europäischen Landvögeln zeigt das Rebhuhn seit 1980 mit einem Rückgang von rund 93% die stärksten Verluste. Besonders im Jahr 2013 war der Bruterfolg dieser Art nach dem anhaltenden Nachwinter und einer sehr kühlen und feuchten Periode Ende Mai gering. Im Sommer 2015 waren die Bedingungen für die ursprüngliche Steppenart hingegen nahezu ideal. In unserem Beitrag vergleichen wir die Truppgrößen der Rebhühner im Jahresverlauf nach den Daten von ornitho.de in den Jahren 2012 bis 2015 und geben Tipps, wie die kleinen Hühnervögel am einfachsten zu beobachten sind.
Die Luftspiele größerer Starenschwärme gehören sicherlich zu den faszinierendsten Schauspielen in der Vogelwelt. Doch wann und wo treten die Vögel in derartiger Anzahl bei uns auf? Anlässlich einer aktuellen Anfrage eines Fernsehteams haben wir die über 200.000 Meldungen von Staren in ornitho.de einmal auf diese Fragen hin ausgewertet. Der Beitrag liefert neben einer Deutschlandkarte der größten Starenschlafplätze und Ansammlungen auch eine Darstellung der jahreszeitlichen Verteilung der Truppgrößen nach Größenklassen.
Ausführlicher als in bisherigen Rückblicken auf die zurückliegende Jahreszeit gehen wir diesmal auch auf das Auftreten von Seltenheiten ein. Der Sommer 2015 hatte hier viele Überraschungen parat. Neben „dem“ Schwarzbrauenalbatros, Deutschlands erstem Bulwersturmvogel und mehreren Zwergscharben wurden besonders viele seltene Greifvögel beobachtet. Gleitaar, Eleonoren- und Würgfalke sowie Adlerbussard wurden gleich mehrfach gesichtet, ergänzt durch den bei Anerkennung erst vierten Rötelfalken für Deutschland. Unter den Limikolen sind neben zwei Wüstenregenpfeifern vor allem die beiden ersten hierzulande auch fotografisch dokumentierten Sandstrandläufer erwähnenswert.
Den Beitrag „Vögel in Deutschland aktuell: Sommer 2015: Rebhühner, Stare und viele Überraschungen“ in der Zeitschrift "Der Falke" können Sie hier als PDF herunterladen. Einen Artikel zum neuen „Atlas-Tool“ bei ornitho (siehe Newsmeldung vom 1.9.) mit dem Titel „ornitho.de: Verbreitung von Vogelarten jetzt auch auf Rasterbasis“ finden Sie hier als PDF. Alle weiteren Beiträge mit direktem Bezug zu ornitho.de finden Sie unter Publikationen und Auswertungen.
Das komplette Falke-Heft 10/2015 mit vielen weiteren Beiträgen, u.a. über Wacholderdrosseln, Braunkehlchen und das neue globale Tierbeobachungssystem ICARUS können Sie über die Internetseite von „Der Falke“ beziehen.
Viel Spaß beim Lesen wünscht
das Team von ornitho.de und ornitho.lu
Avec la parution de l’Atlas des Oiseaux Nicheurs d’Allemagne (ADEBAR), la plus grande cartographie ornithologique jamais organisée en Allemagne a été clôturée avec succès. Cet ouvrage présente la distribution des espèces de même que les densités des populations pour la période 2005 à 2009. Pour réaliser ceci, il a fallu plus de 400 000 heures de travail, majoritairement prestées par des bénévoles. Ceci explique en partie pourquoi des projets de cette envergure ne sont entrepris que tous les 20 ans…
Afin de pouvoir réagir au plus vite sur des questions de la protection de la nature, sur les changements de la distribution des espèces ou encore des fluctuations des populations, il faut souvent un maximum d’informations sur ces changements. Le « Tool-Atlas », qui a été mis en ligne récemment, permettra de combler cette lacune.
La présentation de la distribution des espèces se fait par points de localisation. Avec le « Tool-Atlas », la distribution peut désormais être présentée moyennant les cartes topographiques 1:25 000 (TK25) ; ceci permettra de les comparer avec les données d’ADEBAR. Le « Tool-Atlas » distingue deux cas :
1) Distribution lors de la période de nidification
On y diffère selon nidifications possibles, probables et prouvées. Ceci est basé sur les données encodées avec un code Atlas. Pour les espèces rares ou plutôt rares comme p. expl. le Milan royal ou le Loriot, une qui sont d’avantage encodées avec plus d’informations, une concordance est visible. Pour d’autres espèces en forte progression, des changements entre les cartes et ADEBAR se fait déjà remarquer, comme p. expl. pour la Bernache du Canada ou l’Ouette d’Egypte.
2) Distribution au cours d’une année
Ces nouvelles possibilités ne se limitent pas à la saison de nidification seule: les cartes peuvent être réalisées pour une année entière, une saison ou sur quelques mois. Ceci permettra de réaliser des cartes pour comparer la distribution d’espèces migratrices. Les cartes montrent d’un côté la présence d’une espèce au cours d’une période sur une carte topographique (TK25), mais peuvent aussi contenir des informations sur le nombre (p. expl. la moyenne d’oiseaux par groupe) ou le nombre de données encodées. On peut ainsi visualiser la distribution en dehors de la période de nidification à la manière d’un Atlas.
Un atlas en ligne des oiseaux nicheurs et migrateurs ?
En tout cas, il faut mettre à l’évidence (pendant ou en dehors de la saison de nidification), que l’absence d’une espèce sur une carte ne signifie pas que l’espèce y est absente en réalité. Ceci peut s’expliquer notement par un manque de prospection !
Le « tool-Atlas » ne saura jamais remplacer une cartographie standardisée à aucune période de l’année. Pour un atlas, il faut quelque soit la période absolument requérir à une méthodologie stricte. Mais, le nouveau « Tool-Atlas » permettra non seulement de représenter visuellement les observations non-systématiques et en même temps de les utiliser pour répondre à court terme à un bon nombre de phénomènes ornithologiques.
Vous trouverez cette extension dans le Menu „Atlas des Oiseaux nicheurs“ dans „Oiseaux en Allemagne et Luxemburg“.
Nous tenons à remercier la fondation Ernst-Commentz pour leur support!
Votre équipe d‘ornitho.de et ornitho.lu
PS.: L’Atlas ADEBAR reste disponible pour les collaborateurs jusqu‘au 31.12.2015 pour 39,90 Euro (sommande).
Carte: Distribution du Cygne chanteur en décembre/janvier 2010/2015. Sont repris les nombres maximum d’individus des groupes par carte TK25. Il en revient que les Cygnes chanteurs sont plus réguliers dans la partie nord de l’Allemagne et que les groupes sont plus forts dans le nord-est.
posté par Christopher König
vendredi, 28. août 2015
avinews
Watch out for Ruddy Shelducks with yellow neck collars
Seit 2013 werden am Mauserplatz auf dem Eemmeer bei Utrecht in den Niederlanden Rostgänse mit gelben Halsringen markiert, um der Frage nachzugehen, woher die bis zu 850 dort mausernden Vögel stammen. Bisherige Ergebnisse zeigen dass die Gänse mehrheitlich in Deutschland beobachtet werden, vor allem in Nordrhein-Westfalen und in Süddeutschland. Einige Ablesungen gab es zudem aus der Schweiz. Obwohl viele Vögel während der Brutzeit nicht beobachtet werden (vermutlich bleiben sie unentdeckt), haben die Beobachtungen bereits spannende Erkenntnisse zu Unterschieden in Brutverhalten und -habitat in den Brutgebieten in Deutschland gebracht . Es gibt zudem Wechselbeziehungen zwischen Mauserplätzen in den Niederlanden und z.B. jenen am Bodensee.
Neue Beringungen im Sommer 2015
Im Sommer 2015 wurden insgesamt 203 Rostgänse auf dem Eemmeer gefangen, 93 davon wurden mit Halsringen markiert. Im Gegensatz zu den bislang verwendeten Codes (Buchstabe + Ziffer, z.B. A0), sind jetzt auch Kombinationen aus zwei Buchstaben verwendet worden (z.B. CP, s. Foto). Die Codes sind von unten nach oben zu lesen.
Bitte Ringablesungen melden!
Ablesungen der Halsberingten Gänse können über das Portal www.geese.org gemeldet werden. Melder erhalten dort umgehend den "Lebenslauf" der Vögel mit Daten zum Beringungsort und bisherigen Wiederfunden angezeigt.
Bei Meldungen bei ornitho ist es sinnvoll, im Bemerkungsfeld die Anzahl beringter Vögel anzugeben (auch wenn kein Vogel beringt ist, also alle unberingt). Speziell von Juli bis September ist es bei den beringten Vögeln außerdem spannend zu wissen, ob die Vögel flugfähig waren. Bei mausernden Vögeln ist bei näherer Betrachtung oft das "Fehlen" der Flügelspitzen gut zu sehen. Bei mausernden Trupps in ornitho bitte "Mauserplatz" unter "Präzisierung der Beobachtung" vermerken.
Kees Koffijberg, Sjoerd Dirksen (AG Rostgans)
& das Team von ornitho.de
Foto: Rostgans "gelb CP" mit Partner, Eemmeer, Niederlande. Foto: Nils van Duivendijk
posté par Christopher König
lundi, 24. août 2015
avinews
Attention: New influx of Red-Footed Falcons underway?
In den letzten beiden Jahren wurden im Herbst ungewöhnlich viele Rotfußfalken in Deutschland beobachtet. Nach dem zahlreichen Auftreten 2013 kam es im Herbst 2014 sogar zu einer der wohl stärksten dokumentierten Invasionen von Rotfußfalken in Deutschland. Mehr als 400 Vögel wurden dabei vor allem im Südosten des Landes beobachtet. Es handelte sich dabei um Randerscheinungen eines gewaltigen Einfluges in das westliche Osteuropa, an dem mehrere Tausend Rotfußfalken beteiligt waren.
Derzeit zeichnet sich ein erneuter Einflug der östlichen Falken ab, der möglicherweise sogar noch stärker ausfallen könnte. Aktuell wurden im August bei ornitho.de bereits mehr als zehnmal so viele Rotfußfalken-Beobachtungen gemeldet wie im gleichen Zeitraum der Vorjahre. In Polen steigen die Meldungen ebenfalls täglich weiter an – auch wenn bislang noch keine größeren Trupps dokumentiert wurden. Da das Rotfußfalken-Phänomen nun bereits im dritten Jahr in Folge auftritt, stellt sich die Frage, ob sich möglicherweise sogar eine Veränderung der Zugwege etabliert.
Aktuell kann es sich hierzulande lohnen, gezielt auf die kleinen Insektenjäger zu achten. Zwar können Rotfußfalken auf dem Durchzug nahezu überall auftreten, doch sind gerade auch die offenen Bereiche, in denen eine Suche nach Mornellregenpfeifern lohnenswert erscheint, auch für diese Art attraktiv. Die Falken jagen dabei häufig von Stromleitungen aus, sitzen aber auch gern am Boden.
Eine aktuelle Übersicht der Beobachtungen von Rotfußfalken in Deutschland zeigt diese Karte.
Genaueres Hinsehen lohnt sich derzeit nicht nur bei den kleinen Greifvogelarten. Zahlreiche andere seltene Vogelarten – darunter weitere Greifvögel – zeigen an, dass der Wegzug der Vögel bereits in vollem Gange ist. So wurden in den letzten Tagen neben mehreren Steppenweihen auch drei Würg- sowie drei Eleonorenfalken beobachtet. Selbst die genauere Betrachtung von Turmfalken kann sich auszahlen: Am vergangenen Samstag wurde in der Nähe von Hameln in Niedersachsen Deutschlands erst vierter Rötelfalke seit 1977 entdeckt.
Wir wünschen allen Melderinnen und Meldern schöne Vogelbeobachtungen – seien es Rotfußfalken, Mornellregenpfeifer oder auch nur die häufigeren Arten vor der Haustür. Interessante Beobachtungen lassen sich überall machen – das ist einer der großen Vorzüge der Vogelbeobachtung!
Das Brutgebiet des Mornellregenpfeifers liegt in den Fjällflächen und Tundren von Skandinavien bis Ostsibirien. Während die östliche Population in Vorderasien überwintert, überqueren europäische Brutvögel Zentral- und Südeuropa auf dem Weg nach Nordafrika. Viele Vögel führen dabei vermutlich einen Nonstopzug durch, ein gewisser Teil rastet allerdings regelmäßig an meist traditionellen Rastplätzen. Noch vor wenigen Jahren galt der Mornellregenpfeifer in ganz Deutschland als seltener und unregelmäßiger Durchzügler. Seit Ende der 1990er Jahre gab es aber durch eine in manchen Gebieten gezielte Suche nach der charismatischen Art einen enormen Erkenntnisgewinn: Zahlreiche bis dahin unbekannte Rastplätze wurden entdeckt und sind mittlerweile fast alljährlich besetzt.
Seit 2011 rufen wir zur gezielten Suche nach Mornellregenpfeifern während des zeitlich eng begrenzten Durchzugfensters von Mitte August bis Mitte September auf. Die zahlreichen Meldungen vor allem über ornitho ergaben den wohl bundesweit bislang besten Überblick über die Rastvorkommen. Dank der Differenzierung vieler Individuen in Alt- und Jungvögel können der jährilche Jungvogelanteil berechnet und so Rückschlüsse auf den Bruterfolg gezogen werden. Die Ergebnisse 2011-2014 wurden in der Oktober-Ausgabe 2014 von „Der Falke“ veröffentlicht. Diesen Beitrag können Sie hier als pdf herunterladen.
Motiviert durch die sehr gute Resonanz der letzten Jahre wollen wir versuchen, auch den Wegzug 2015 möglichst gut zu dokumentieren. In einem weiteren Falke-Beitrag aus dem Juli 2013 haben wir gezielte Hinweise gegeben, wie und wo man Mornellregenpfeifer auf dem Herbstzug suchen (und hoffentlich auch finden) kann. Den Beitrag „Leicht zu übersehen: Herbstrast des Mornellregenpfeifers“ finden Sie hier als PDF.
Wann?
Mornellregenpfeifer überqueren Europa auf dem Zug in sehr engen Zeitfenstern. Im Frühjahr zieht die Art in Deutschland in sehr kurzer Zeitspanne und nur geringer Zahl fast ausschließlich im Mai durch, vorjährige Mornells verbleiben wie viele andere Zugvögel meist im Winterquartier. Weit auffälliger ist der Durchzug im Herbst. Hier werden die meisten Individuen im Zeitraum 15. August bis 15. September beobachtet. Einzelne Vögel treten noch bis Oktober auf. Es gilt daher in den kommenden Wochen ganz gezielt geeignete Habitate zu kontrollieren! Aufgrund des Verhaltens der Vögel sind die Beobachtungsbedingungen am Morgen und Abend am besten. Zu dieser Zeit findet die Nahrungssuche statt, während sich im weiteren Tagesverlauf ruhende, bewegungslose Vögel oft der Entdeckung entziehen. Auch die Chance, gegen Abend abziehende bzw. morgens zur Rast einfallende Tiere oder deren kleinräumige Ortswechsel bei der Suche nach geeigneten Rastflächen zu beobachten, erhöht den Beobachtungserfolg deutlich.
Wo?
Während im Frühjahr vor allem küstennahe Bereiche bevorzugt werden, tauchen Mornellregenpfeifer im Herbst vermehrt an Rastplätzen im Binnenland auf. Bei den Gebieten handelt es sich in der Regel um weithin exponierte, sehr offene und damit an skandinavische Weiten erinnernde Flächen mit kurzer Vegetation. Wurden ursprünglich wohl vor allem Heiden und Brachen aufgesucht, sind heute abgeerntete Felder die Hauptrastplätze. Besonders regelmäßig gelingen Nachweise vor allem auf Ackerflächen auf kargen, windexponierten Hochflächen mit weiter Sicht in Abzugrichtung Süd und Südwest in großräumigen Agrarlandschaften, gerne im oberen Hangbereich an der Südwestflanke kleiner Hügel. Es sollte mindestens ein Stoppelsturz stattgefunden haben, unbearbeitete Getreidestoppeln werden offenbar gemieden. Große Vertikalstrukturen wirken sich negativ aus, wobei Einzelbäume und Erdaufschüttungen toleriert werden. Besonders lohnend kann die Suche direkt nach starken, großräumigen Regenschauern und Gewittern sein, wenn die von der Witterungslage zur „Notrast“ gezwungenen Vögel schnell wieder abziehen und dann besonders auffällig sind. Unter solchen Witterungsbedingungen werden manchmal auch Flächen zur Rast genutzt, die bei guter Witterung keine Beachtung finden, wie z.B. ebene, kleinere Ackerflächen in Waldrandnähe. Die momentan soweit bekannt größten und bedeutendsten Rastplätze für Mornellregenpfeifer in Deutschland sind die nordrhein-westfälische Hellwegbörde im Kreis Soest sowie das Maifeld im Kreis Mayen-Koblenz in Rheinland-Pfalz.
Wie?
Nur selten werden die gerade einmal amsel-großen Mornellregenpfeifer zufällig entdeckt. Erst das genaue Absuchen geeigneter Flächen mit Fernglas oder Spektiv führt in der Regel zum Erfolg. Die Art ist relativ leicht zu bestimmen und kaum mit anderen Arten zu verwechseln (Bestimmungshilfe [ PDF ]). An den Rastplätzen herrscht eine hohe Dynamik, viele Vögel verweilen nur kurz, so dass eine regelmäßige Kontrolle möglicher Rastgebiete mit Angabe des Altersverhältnisses wertvolle Zusatzinformationen zur Anzahl der insgesamt im Gebiet rastenden Vögel liefert. Auch die Kenntnis der Lautäußerungen kann daher hilfreich sein. Beim Abfliegen wird häufig ein trillerndes, für eine Limikole unerwartet tief-melancholisches „pjürrr“ (www.xeno-canto.org/species/Charadrius-morinellus) geäußert. Mornellregenpfeifer rasten meist in artreinen Trupps, nur selten gemeinsam mit anderen Limikolen (z.B. Goldregenpfeifern). Im Rastgebiet verhalten sie sich in der Regel recht vertraut und verharren selbst auf wenige Meter Abstand. Besonders größere Trupps sind aber mitunter scheu und fliegen schon bei geringen Störungen auf. Wir möchten deshalb noch einmal ausdrücklich darauf hinweisen, dass jegliche Störungen zu vermeiden sind und der allgemeine Verhaltenskodex unbedingt zu beachten ist!
Bei der Meldung von Mornellregenpfeifern bitten wir um möglichst detaillierte Informationen zu:
rastend oder ziehend (unter "Präzisierung der Beobachtung")
Bitte auch Negativkontrollen melden!
Wenn geeignet erscheinende oder in den vergangenen Jahren von Mornells aufgesuchte Flächen kontrolliert, aber keine Vögel gefunden wurden, bitte einen Bestand = 0 eintragen. Für die Interpretation der Verbreitungskarte und die Datenauswertung sind 0-Nachweise eine wichtige Information. Bitte geben Sie dabei den groben Zeitaufwand im Bemerkungsfeld an.
Gerne können Sie weitere Angaben (z.B. zum Verhalten) im Bemerkungsfeld machen oder Fotos der Vögel anfügen.
Eine Bestimmungshilfe mit zahlreichen Fotos und Erläuterungen sowie hilfreicher Literatur bietet das folgende [ PDF ].
Looking back on spring 2015: unsurprising arrival of migrants; Little Gulls and Red-footed Falcons on the move
Das Frühjahr 2015 war – vergleichbar mit dem des letzten Jahres – insgesamt recht warm, sehr sonnig und fast überall viel zu trocken. Es gab jedoch beträchtliche regionale Unterschiede: Während die Mitte Deutschlands unter starker Trockenheit litt, regnete es im Norden, vor allem aber im äußersten Süden überdurchschnittlich viel. Ende März fegte zudem Orkan „Niklas“ mit Böen bis 150 km/h über uns hinweg. In unserem Beitrag über das Frühjahr 2015 in Der Falke betrachten wir einige Ereignisse in der Vogelwelt in den Monaten März bis Mai.
Anhand der Daten aus ornitho.de können wir die Ankunft der Zugvögel mittlerweile über vier Jahre miteinander vergleichen und der Frage nachgehen, ob einzelne Arten früher oder später
zu uns zurückkehrten als in anderen Jahren. Sehr eindrucksvoll wird die Frühjahrsankunft von 25 häufigen und/oder weitverbreiteten Singvogelarten (inkl. Mauersegler) in Deutschland in den Jahren 2012 bis 2014 im Vergleich zu 2015 dargestellt. Bei der Dorngrasmücke deutet sich anhand der Beobachtungen von ornitho.de eine bereits durch die Vogelberingung ermittelte, schwach ausgeprägte Zugscheide durch die Mitte Deutschlands an.
Intensiver gehen wir in unserem Rückblick außerdem auf den Durchzug der Zwergmöwe ein. Die kleinste Möwe der Welt lässt bei uns vor allem im April/Mai sowie in deutlich geringerer Zahl auf dem Wegzug von Juli bis September beobachten. Durch die Stürme „Mike“ und „Niklas“ wurden in diesem Jahr ab dem 30. März ungewöhnlich früh zahlreiche Zwergmöwen bis tief ins Binnenland verdriftet.
Eines der eindrucksvollsten Ereignisse in diesem Frühjahr war das außergewöhnlich starke Auftreten von Rotfußfalken im südlichen Baden-Württemberg und Bayern. Bereits nördlich der Donau trat die Art hingegen nur ganz vereinzelt auf. Die Zusammenstellung der Meldungen aller ornitho-Portale ermöglicht einen aufschlussreichen Einblick zum großräumigen Verlauf des Einfluges. Auch mögliche Ursachen für das 2015 etwa fünfmal so starke Auftreten wie im Mittel der drei Vorjahre werden diskutiert.
Den Beitrag „Vögel in Deutschland aktuell: Frühjahr 2015: Zugvögel im Plan, Zwergmöwen vom Winde verweht und Rotfußfalken auf Abwegen“ in der Zeitschrift Der Falke können Sie hier als PDF herunterladen. Alle weiteren Beiträge finden Sie unter Publikationen und Auswertungen.
Das komplette Falke-Heft 08/2015 mit vielen weiteren Beiträgen, u.a. über Seevogelschutz in England, die illegale Jagd auf Weidenammern in China, Neues zum „Fahlkauz-Komplex“, interessante Vogelnamen aus anderen Sprachen sowie den Steinschmätzer und eine beeindruckende Auswahl von Fotos badender Vögel können Sie über die Internetseite von „Der Falke“ beziehen.
Viel Spaß beim Lesen wünscht
das Team von ornitho.de und ornitho.lu!
Durchschnittlich 16 % aller bei ornitho gemeldeten Beobachtungen werden bereits direkt per Smartphone über die ornitho-App „NaturaList“ übermittelt – Tendenz weiter steigend. Seit rund einer Woche steht nun eine neue Version der App im GooglePlay-Store zum kostenlosen Download bereit. Diese enthält einige umfangreiche und sicher hilfreiche Verbesserungen und Erweiterungen.
Besonders groß war die Nachfrage nach einer Editierfunktion für die per App eingegebenen Daten. Diesem Wunsch konnte nun entsprochen werden und so lassen sich die Beobachtungen bis zur Übertragung an das System innerhalb der App korrigieren oder präzisieren. Es besteht nun darüber hinaus die Möglichkeit, den Beobachtungen Fotos anzufügen. So lassen sich beispielsweise Belegaufnahmen per Digiscoping bereits direkt während der Beobachtung veröffentlichen. Als weitere Neuerung steht bei der Eingabe nun ein Zählmodus zur Verfügung. Auf diese Weise kann das Smartphone als Zähluhr genutzt und Vögel beim Auszählen eines Trupps direkt in Zehner- oder Hunderterschritten summiert werden.
Größere Veränderungen gab es auch bei den Artenlisten. Entsprechend der IOC World Bird List v4.4 (www.worldbirdnames.org) können nun alle Vogelarten der Welt über die App erfasst werden. So wurden mehr als 15.000 neue Taxa in 22 Sprachen ergänzt. Genau wie bei der bekannten Datenbank für Vogelstimmen aus aller Welt Xeno-Canto (www.xeno-canto.org) wurden die Arten dabei kontinentweise aufgeteilt. Wir möchten jedoch darauf hinweisen, dass Sie (sofern vorhanden) stets die Artenliste des jeweiligen Internetportals (z.B. ornitho.de für Eingaben aus Deutschland) nutzen sollten. Nur auf diese Weise werden die Arten gemäß der jeweils gültigen offiziellen Artenliste und entsprechend ihrer Häufigkeit korrekt dargestellt sowie die Brutzeitcodes gemäß der hinterlegten Zeiträume abgefragt.
Sollten Sie bereits Nutzer von NaturaList sein, so können Sie – sofern nicht ohnehin bereits automatisch geschehen – das Update auf die neue Version ganz einfach im Appstore von GooglePlay durchführen. Sollte es bei dem Update auf die neue Version zu Problemen kommen, so wenden Sie sich bitte an hilfe@ornitho.de. Weitere Informationen und Hinweise zur ornitho-App „NaturaList“ finden Sie unter http://www.ornitho.de/index.php?m_id=20033
Bitte via App eingegeben Beobachtungen ergänzen
Erinnern möchten wir in diesem Zusammenhang noch einmal daran, dass die per App übermittelten Beobachtungen (noch) nicht alle Informationen enthalten (Habitat und Präzisierung der Beobachtung), den Angaben zu den Koloniebrütern wichtige Informationen fehlen und die automatischen Zuordnungen zu den Ortsbezeichnungen nicht immer die glücklichsten sind. Bitte überarbeiten Sie deshalb einzelne Meldungen nochmals online. Vielen Dank!
Herzlichen Dank!
Wir möchten die Veröffentlichung der neuen Version von NaturaList zum Anlass nehmen, uns noch einmal ganz herzlich bei allen Spenderinnen und Spendern zu bedanken, die vor allem mit ihren Spenden rund um Weihnachten sowie beim Birdrace dazu beigetragen haben, dass ornitho auch weiterhin innovativ bleiben kann. Weitere Verbesserungen sind in Arbeit oder im Hintergrund bereits umgesetzt worden.
Viel Freude mit der neuen Version der App wünscht
Das Team von ornitho.de und ornitho.lu
PS.: Wir freuen uns natürlich auch weiterhin über Spenden, z.B. unkompliziert und komfortabel per Online-Formular.
posté par Christopher König
lundi, 13. juillet 2015
avinews
EuroBirdPortal: Autres espèces d'oiseaux ajoute
Online-Portale aus über 20 Ländern Europas sind am Projekt EuroBirdPortal (EBP) beteiligt, das am 5. Juni im Rahmen der Green Week der Europäischen Kommission gestartet wurde. Deutschland wird dabei durch ornitho.de vertreten. Die Zahl der im EBP verfügbaren Vogelarten konnte mittlerweile weiter ergänzt werden, sodass aktuell für bereits 21 Arten die Beobachtungen der Jahre 2010 bis 2013 europaweit auf Basis eines 10x10 km-Rasters dargestellt werden und sich beispielsweise mit Durchschnittstemperaturen gegenüberstellen lassen. Zuletzt wurden mit Schilfrohrsänger, Wiesenschafstelze und Neuntöter drei typische Langstreckenzieher ergänzt.
Schauen Sie regelmäßig beim EuroBirdPortal vorbei! Bis zum Jahresende werden rund 50 Arten und auch die Daten bis 2014 abrufbar sein. Wir halten Sie an dieser Stelle auf dem Laufenden!
Patric Lorgé, Christopher König und Johannes Wahl für das Team von ornitho.de und ornitho.lu
Fotos: T. Hinsche, O. Jürgens, C. Plummer
posté par Christopher König
vendredi, 3. juillet 2015
tipnews
Summer Goose count in Northrhine-Westphalia 11th/12th July
Nordrhein-Westfalen ist das Bundesland mit den höchsten Brut- und Übersommerungsbeständen von Grau-, Kanada-, Nil- und Rostgans. Während die Winterbestände über die monatlichen Wasservogelzählungen oder spezielle Gänsezählungen erfasst werden, sind Kenntnisse über Bestandsgrößen und Verbreitung im Sommer bis jetzt nur lückenhaft vorhanden. Seit 2011 organisiert die Nordrhein-Westfälische Ornithologen-Gesellschaft (NWO) daher mit Unterstützung des Landesamtes für Natur, Umwelt und Verbraucherschutz (LANUV) NRW alljährlich eine landesweite Gänsezählung im Sommer. In diesem Jahr findet die Erfassung am 11./12. Juli statt. Ziel ist es, neben landesweiten Angaben zum Bestand auch in möglichst vielen Gebieten Informationen zum Bruterfolg zu ermitteln. Einen Bericht zur Zählung 2014, bei der mehr als 30.000 Gänse erfasst wurden, können Sie hier herunterladen.
Erfassungsmethode und Eingabe der Daten
Erfahrungen zeigen, dass die Gänse überwiegend morgens früh und abends zu den Nahrungsflächen fliegen und sich tagsüber an Gewässern konzentrieren. Die Zählungen sollten deshalb zwischen 9 und 18 Uhr durchgeführt werden. Wer am Wochenende keine Zeit hat: Zählungen vom 10. bis 13. Juli werden in die Auswertungen einbezogen. Bitte melden Sie dabei unbedingt auch NULLZÄHLUNGEN (einfach Graugans mit Bestand = 0 eintragen genügt).
Wichtig bei der Unterscheidung der Altersklassen: Bitte tragen Sie alle kontrollierten Vögel ein, nicht nur die Zahl an Jungvögeln (sonst ist die Gesamtzahl der auf Alter kontrollierten Vögel unklar). Die Dateneingabe erfolgt direkt über ornitho.de. Dort wird während der Zählung eine optionale Angabe "Erfassungsprojekt" freigeschaltet, unter der die Sommerganszählung NRW 2015 eingetragen werden kann. Auf diese Weise lassen sich die Daten später leicht zuordnen.
Wichtig bei der Eingabe über NaturaList: Das Nahrungshabitat, das Verhalten sowie das Erfassungsprojekt können leider nicht direkt über die App eingetragen werden. Wir möchten darum bitten, diese Angaben nachträglich am PC zu ergänzen. Sollte dies nicht möglich sein, geben Sie bitte während der Eingabe im Feld zumindest als geschützte Bemerkung „SoGaNRW15“ an. Angaben zum Alter der Vögel können in der App unter „Detail“ eingegeben werden. Weitere hilfreiche Informationen zur Verwendung der App finden Sie unter http://www.ornitho.de/index.php?m_id=20033.